Une peur inutile
L’histoire s’ouvre sur l’image de Franz qui court pour aller à l’école car il a peur d’être en retard, d’autant plus qu’il n’a pas préparé sa leçon sur les participes. Il est brièvement tenté de sécher les cours, mais, de façon ironique, M. Hamel ne le réprimande pas : la nouvelle qu’il s’apprête à annoncer va bien plus l’affecter que son retard en classe.
Les livres qui ressemblent à de vieux amis
Bien que Franz ait séché de nombreux cours et accordé peu d’importance à son éducation, savoir qu’il ne pourra plus jamais étudier le français lui fait remarquer que ses manuels scolaires ressemblent désormais à de vieux amis. Dans cet exemple d’ironie situationnelle, le ressentiment de Franz envers l’école se transforme en une profonde gratitude envers l’apprentissage de sa langue maternelle, qui est désormais interdit.