Le mal de mer
Il est ironique que Lidenbrock, qui est puissant et têtu, soit plus sensible au mal de mer qu'Axel, pourtant plus nerveux.
Les conseils de M. Fridriksson
Il est ironique que M. Fridriksson conseille naïvement à ses inviter d'aller visiter le Sneffels : ils ont surtout l'intension de monter jusqu'au sommet et de passer par son cratère pour voyager jusqu'au centre de la Terre. Les réponses amusées de Lidenbrock intensifient cette ironie.
Le but du voyage
Bien que l'objectif de Lidenbrock ait toujours été d'atteindre le centre le la Terre, il n'y parviendra jamais réellement. Cette démonstration d'ironie se retrouve dans le titre du roman.
L'audace d'Axel
Il est ironique que ce soit Axel qui conçoive le plan pour faire exploser le mur rocheux, alors que c'est l'aventurier qui craignait le plus de mourir et qui avait peur que l'expédition soit trop dangereuse. C'est le moment le plus dangereux, le plus dramatique et surtout le plus irrationnel de l'histoire.