Allégorie de la Grâce
Dans le roman, la grâce est une allégorie, le condamné l'attend comme une personne qui viendrait pour le sauver. La grâce peut être saisie par le héros comme une corde qu'il attraperait dans sa chute.
De plus, la grâce est la seule chose qui peut sauver les héros de sa solitude.
Allégorie de la mort
Hugo créé une allégorie en incarnant l'idée de la mort à travers une personne physique à laquelle il attribue des pensés et des émotions : « seule et jalouse » ; « face-à-face avec moi » ; « me secouant de ses deux mains » ; « Elle se glisse …, se mêle…, se colle… m’obsède…, épie… et reparait… ».
La mort devient donc une allégorie, elle cohabite avec le prisonnier durant tout le roman.