ironie
Alors, vous êtes plus qu'indulgent, vous êtes généreux. Ce n'est pas vous, comte, qui auriez fait cela, ajouta-t-elle en se tournant vers M. de N…, et après avoir jeté sur moi un de ces égards par lesquels les femmes complètent leur opinion sur un homme.
Marguerite exprime de la gratitude envers Armant qu'elle considère généreusement, tout en sous-entendant que le comte aurait agi différemment dans la même situation, soulignant ainsi l'hypocrisie et la subtilité de leur relation malgré les apparences.
ironie
- Oh ! fit-elle en se jetant sur le canapé et en nous faisant signe de nous y asseoir, Gaston sait bien quel genre de musique je fais. C'est bon quand je suis seule avec le comte, mais je ne voudrais pas vous faire endurer pareil supplice. – Vous avez cette préférence pour moi ? Répliqua M. de N… avec un sourire qu'il essaya de rendre fin et ironique. – Vous avez un tort de me reprocher ; c'est la seule
Marguerite fait croire une préférence pour la compagnie de M. de N... tout en le présentant subtilement comme un " supplice ", soulignant ainsi le contraste entre ses paroles et ses actions, ainsi que son intérêt purement autre que flatteur pour le M de N.
ironie
– Adieu, mon cher comte, vous vous en allez déjà ? – Oui, je crains de vous ennuyer. – Vous ne m'ennuyez pas plus aujourd'hui que les autres jours. Quand vous verrez-t-on ? – Quand vous le permettez. – Adieu, alors !
Cette conversation met en évidence l'ironie du fait que le comte prétend partir de peur d'ennuyer, mais la réponse de Marguerite souligne que sa présence ne dérange pas plus qu'à l'ordinaire. Pour signifier que son excuse ne vaut pas la peine car ses visites sont toujours ennuyeuses, Marguerite termine avec une salutation qui n'exprime pas l'envie de le revoir.
ironie
Les hommes sont des bébés qu'il faut bercer jusqu'à ce qu'ils s'endorment.
Cette citation compare les hommes à des bébés, suggérant qu'ils ont besoin d'être traités avec une grande attention et douceur pour être apaisés. Cela met en lumière l'idée que les hommes peuvent parfois être immatures ou nécessiter un traitement particulier, ce qui peut être perçu comme une critique humoristique de leur comportement.